Xixuthrus gressitti, Marazzi, Marazzi & Komiya, 2006
publication ID |
https://doi.org/10.57800/faunitaxys-11(34) |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:DBC878C6-1FD3-4918-B65E-11BC9AA72E86 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/D10B87BF-620F-FFB0-745C-FA30EC339E64 |
treatment provided by |
Felipe |
scientific name |
Xixuthrus gressitti |
status |
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X. gressitti Marazzi, Marazzi & Komiya, 2006 View in CoL
Habitus globalement plus mince.
Pubescence dense visible.
Tête plus petite.
Troisième article des antennes plus long.
Pronotum plus étroit avec suture verticale médiane et surface entièrement recouverte de pubescence.
Élytres pubescents, ponctuation moins profonde seulement sur le devant, postérieurement lisse.
Pattes plus longues, plus épineuses sur le bord intérieur, sur l’extérieur moins épineuses.
Tarse avant avec le 1 er tarsomère plus long.
Tab. 2. - Comparaison Xixuthrus tarkus n. sp. / Xixuthrus gressitti Marazzi, Marazzi & Komiya, 2006 .
22. Taja-Gresi Dist. , Jayapura Reg., ♂ (66,4 mm), VII.2022, NDPC (n°11928) . 23. Jayapura Reg., ♂ (83,4 mm), XI.2022, NDPC (n°11929).
24 -26. Arso-Jayapura Reg. 24. ♀ (74,4 mm), XI.2022, NDPC (n°11927) . 25. ♀ (74,2 mm), XI.2022, NDPC (n°11926) . 26. ♀ (79,3 mm), XII.2022, NDPC (n°11925).
Pronotum. – Fortement transversal et convexe, avec une impression centrale très claire lisse en forme de V, de chaque côté de ces deux callosités avant triangulaires à l’apex fortement détecté en surface parsemée d’une ponctuation plus ou moins dense; latéralement avec deux callosités obliques brillantes bien délimitées, irrégulières jusqu’aux angles postérieurs du pronotum, marge antérieure convexe et saillante, avec des angles antérieurs avancés, fortement épineux, des dents spiniformes irrégulièrement espacées. – Base rectiligne jusqu’aux angles postérieurs.
Elytres. – Aspect glabre avec une ponctuation vermiculée régulière sur toute la surface, avec 4 côtes dont les deux suturales sont fortement marquées, apex avec dents suturales courtes.
Description de l’holotype
Allure générale. – Tête , pronotum et scapes antennaires noirs. – Corps, pattes, antennes et tarses brun rougeâtre foncé. – Elytres brun rougeâtre plus clair, presque glabres.
Taille. – Longueur totale (compris les mandibules): 87,0 mm. – Largeur max. pronotum: 25,0 mm. – Elytres max.(au tiers de leur longueur): 28,5 mm.
Tête . – Grande, plus large que longue, suture médiane longitudinale profonde, aspect ridé dû à une ponctuation dense avec des points irréguliers plus grands à l’avant et entre les yeux jusqu’au sommet des tubercules antennaires. – Yeux grands, séparés en vision dorsale à une distance égale à environ la moitié de la largeur de chaque oeil.
Antennes. – Dépassant la moitié de la longueur des élytres, scape allongé, modérément et régulièrement dilaté de la base à l’apex, avec une surface rugueuse, des points larges et profonds et des tubercules épineux surtout sur le bord avant, 3 ème antennomère juste plus court le scape, antennomères 3 ème au 9 ème à la surface brillante, diminuant régulièrement en longueur, ayant une épine subapicale progressivement moins anguleuse, jusqu’à ce qu’elle soit réduite au 10 ème à une projection angulaire à apex arrondi.
Pattes. – Antérieures, avec fémurs et tibias munis de deux rangées d’épines sur les bords intérieurs. – Profémurs et protibias couverts de nombreuses épines éparses, pattes arrières et médianes à surface lisse. – Mesofémurs avec quelques points dispersés. – Metafémurs pratiquement imponctués. – Tibias juste courbés, très faiblement dilatés et courbés à l’apex. – Protarses bien développés avec 1 er tarsomère aussi long que les deux suivants réunis, onychium un peu plus de la moitié des trois premiers tarsomères pris ensemble.
Mâle. – Inconnu
Taille. – 74-87 mm.
Etymologie. – Cette espèce prend le nom de Tarkus, titre du second album du supergroupe de rock progressif Emerson Lake et Palmer pour sa musique, bande originale de notre vie.
Distribution. – Papouasie-Nouvelle-Guinée, Archipel Bismarck, Île Umboi (à l’ouest de l’île de Nouvelle-Bretagne).
Discussion. – Xixuthrus tarkus n. sp. se distingue facilement en vue dorsale de toutes les autres espèces de Xixuthrus par l’absence de pubescence sur toute la surface, à première vue, peut être confondu avec Dysiatus melas Pascoe , pour la coloration brun rougeâtre du tégument, la seule caractéristique commune aux deux espèces. L’espèce la plus proche est Xixuthrus gressitti Marazzi, Marazzi & Komiya (Tab. 2).
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.